Vous êtes ici

Optimiser les apports en phosphore et potassium

  Article réservé aux abonnés
Les apports organiques sous forme de fumier permettent généralement de couvrir les besoins phosphopotassique des prairies, pour peu qu’ils soient réalisés régulièrement et en quantité suffisante.
­Dans les élevages de la région, la fertilisation prairiale repose généralement sur l’utilisation combinée d’apports organiques (fumier, lisier ou compost) et d’engrais minéraux. Le raisonnement des...

Pour poursuivre la lecture de ce contenu, abonnez-vous dès maintenant.

Pas encore abonné ?

Contactez-nous